Divorce, séparation, en cas d’adultère
La preuve « juridique » c’est : la demande de constat (avec des présomptions de preuves).
Si le juge vous la refuse, c’est qu’il a sûrement la conviction que l’adultère est réel et il en tiendra compte.
Inversement si vos présomptions de preuves sont trop légères, il peut refuser de déranger le soi-disant complice (et le voisinage).
C’est pourquoi il est préférable de joindre un certificat médical attestant que vous êtes en cours de dépistage VIH et MST pour démontrer votre sérieux.
Beaucoup allèguent l’adultère du conjoint, mais refusent de se faire dépister alors qu’ils peuvent être contaminés par les fredaines du conjoint.
Mais peut-être, refusaient toutes relations sexuelles bien avant que le conjoint ne soit infidèle ?